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La mondialisation totalitaire

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Editions de Paris, 126 pages, janvier 2018.

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Description

Mondialisation et totalitarisme : les deux termes semblent antinomiques, le totalitarisme étant resté dans nos mémoires comme une hypertrophie du nationalisme. La mondialisation devrait donc apparaitre comme une libération, la garantie de ne plus retomber dans les travers du passé. Or, nous n’avons jamais autant subi un tel conditionnement de nos idées et de nos actes, un tel rejet de tout ce qui n’entre pas dans les vues du politiquement correct comme du réalisme économique. Sous nos yeux se met en place un système insidieux, souriant, en réalité phagocytaire. Délocalisations, destruction des emplois, concurrence déloyale, concentration des entreprises, laxisme en matière d’immigration, complaisance avec le communautarisme, le but est clair : asservir Nations et Etats, araser les particularismes, saper la démocratie, abaisser le niveau culturel, uniformiser les modes et les goûts pour parvenir à une gouvernance mondiale sans précédent. Parallèlement à la transformation des peuples occidentaux en consommateurs passifs et assistés, gavés de fêtes et de jeux, est mis en place une exploitation forcenée du tiers-monde, de ses richesses et de ses travailleurs. Cette main-d’oeuvre servile est le ressort de l’enrichissement accru des puissants, ceux qui se nourrissent de la misère des pauvres, la privation du nécessaire des uns, ajoutant à l’abondance des autres. Un totalitarisme d’un nouveau genre qui, depuis des décennies, tisse sa toile : au totalitarisme politique a succédé le totalitarisme économique et financier, à la violence d’Etat le conditionnement par le marketing, les images et les nouvelles technologies. Dans cet essai argumenté, Olivier Piacentini décortique l’avènement des nouvelles puissances financières, qui, ayant supplanté le pouvoir des Etats, déroulent un programme de domination planétaire qui prétend changer le cours de la vie humaine, voire transformer l’humain. Une perspective glaçante que voilà cinquante ans avaient pressentie Aldous Huxley et Georges Orwell.

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Poids207 g

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